Enfin, je revenais de mon longs voyage de pékin, épuisée et avec une folle envie de revoir mes parents car après 15 ans de voyage pour mon métier de mannequin, je vous garantie que vos proches vous manquent.
Je me trouvais dans l'aéroport et une fois sortie de celui-ci j'appelais un taxi en direction de la maison de mes parents, mais en cette journée d'hiver les jours se couchent vite et je me retrouvais dans l'obscurité totale en quelques minutes.
Et je remarquais qu'une lumière rouge était au loin vacillante pourtant il n'y avait pas de vent. Je me dirigeais vers celle-ci . Au bout de 5 minutes j'étais devant ce lampadaire et devant moi se dressait une vieille maison ou, plutôt un grand manoir et la lumière rouge placée dans le jardin de cette étrange demeure qui éclairait un nain de jardin et je fus frappée d'une étrange douleur dans la tête qui me disait de ne pas entrer dans ce manoir ou je n'en sortirais pas indemne mais je ne me souciais pas de cette prédiction. Et j'étais sur le point de partir quand soudain un vieil homme tout rabougri ouvrais la porte et me dit: »Bonjour, que voulez vous?». Et je lui expliquais ma situation. Il me fit entrer et m'offris un repas, il était tard et je me couchais chez ce vieil homme. Je ne trouvais pas le sommeil et je me levais pour prendre l'air et le vieil homme était sur le seuil de la maison en train de fumer sa pipe et de lire son journal. Je lui expliquais que je n'arrivais pas à dormir et je m'éloignais de la maison quand soudain je me sentis très mal et je remarquais que je me transformais...
Au bout de quelques minutes je me retrouvais totalement transformée en mort-vivant. Je sentais dans la tête la même force psychologique qu'à l'arrivée quand j'étais sur le seuil de la maison. Et une force me poussa à tuer et je me dirigeais vers le vieil homme... et je perdis conscience alors que mon corps continuait de bouger.
Je me trouvais le matin dans mon lit. J'avais mal à la tête et je me dirigeais vers la salle de bain pour faire ma toilette et mon visage était plein de sangs et mes habits tout déchirés et je me rappelais de ce qui c'était passé mais je n'en étais pas sure et pour voir la conscience tranquille j'allais voir le vieil homme pour lui demander. Soudain je vis le vieil homme mort et je m'accusais de l'avoir tué!
Il était bientôt midi et je décidait de fuir et je me dirigeais vers le maison de mes parents, j’arrivais chez eux le soir même, j'étais très content de les revoir il était tard et je me couchait et la même envie du soir dernier repris avec le même scénario que le soir dernier et le matin je me réveillais et remarquais que mes parents étaient mort et je remarquais et j'étais persuadé que c'était moi qui avait fais ces crimes et j'allais à la police pour leur dire que j'avais tué. Ils allaient m'emprisonner mais je leur expliquais soudain que je n'était sur de moi et du coup vu que mon casier judiciaire était vide ils décidèrent de me relâcher.
Après tout ses crimes je décidais de me condamner, je trouvais le soir même un abri abandonné. Sans manger ni boire, isolée de tout. Je ne savais si j'allais mourir à se rythme là...
Maxence & Dylan
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Emma & Louise
8 février 2002 :
9 février 2002 :
LA MONTAGNE,25 décembre
Rubrique Fait divers :
Huedour
« Le corps calciné d’un homme a été retrouvé près de la tombe d’une femme et de ses deux enfants. »
Nous supposons qu’il s’agit du mari.
mardi 27 décembre 2011
Concours de Nouvelles Fantastiques - Louis Querbes - L'étoile.
Mon oncle Ben me raconta une vieille histoire de la ville de Mibri:
Treize ans plus tôt Mia avait perdu ses parents le 13 décembre lors d'un accident de voiture, elle se trouvait sur une route enneigée. Il faisait noir et la visibilité était réduite. Tout à coup, un animal traversa la route mais le père de Mia ne le vit qu'au dernier moment. Il réussi tout de même à freiner tout en déviant malheureusement le trajet de la voiture dans le fossé . Les parents de Mia restèrent coincés dans la voiture et la jeune fille se dégagea de la voiture. Elle paniqua et essaya de sortir ses parents de la voiture mais malgré ses efforts elle n'y parvint pas . Elle partit sans espoir en sanglots pour essayer d'aller chercher de l'aide jusqu'à la ville . Une fois arrivé, la jeune fille éclata en sanglot sans savoir quoi faire, ni qui appeler
Mia était désormais orpheline . Heureusement il lui restait sa tante, la sur de sa mère, elle alla y vivre jusqu'à sa majorité .
A présent c'est une belle jeune fille de 26 ans ayant une bonne situation. Elle est grande, mince et aux yeux verts, Mia est une belle jeune fille mais cependant célibataire. Elle travaille comme mannequin pour les magazines de mode. Elle habite dans le seizième arrondissement de Paris. Depuis l'accident, chaque année à la même date elle dépose des fleurs et une photo dans le fossé...
Cette année là ne fut pas banale, en effet, le 13 décembre Mia avait quitter paris pour une soirée paris et le luxe pour retourné dans sa ville natale ou elle avait tant de souvenirs, bon ou mauvais, elle était aller déposer des fleurs ainsi qu'une photo car celle de l'année dernière était endommagée. Mia avançait, seule dans la rue déserte elle était pensive et se sentait seule. La jeune femme se remémorait l'accident. Elle déposa délicatement une photo de ses parents et le bouquet mais Mia ne s'éternisa pas car il faisait froid et elle ne voyait rien. La pénombre était inquiétante car Mia ne distinguait que des ombres difformes ce qui lui rappelait les tragique circonstance de l'accident.
Quand Mia rentra chez elle, elle s'effondra sur son lit . Elle se sentait seule et désemparée. Mia s'endormit troublée. Cette nuit là, Mia rêva de l'accident sans savoir si elle dormait ou si elle était réellement sur les lieux du drame. La jeune se revoyait dans la voiture qui déviait dans le fossé afin d'éviter le renard. Mia sortit de la voiture et se retrouva une nouvelle fois seule dans la ville mais cette fois une homme la surpris en train de sangloter .Il avait environ la quarantaine et portait un grand manteau noir, chauve et barbu , il fumait le cigare. Mia entendit une voix grave qui lui murmurait :
«Tu n'est pas banale, tu t'en rendra vite compte et tu en payera le frais.Mia regardait l'homme partir et aperçu sur sa joue un signe représentant une petite étoile a 5 branches.
Le lendemain matin Mia était toute retournée , quand elle partie au travail elle aperçue sur la route quelque choses quelle croyait n'avoir jamais vu auparavant; elle ne prêta pas d’attention puis dans la soirée elle se remémora ce signe et repensa à son rêve: la petite étoile à 5 branches pensa que cela lui était adressé elle se disait que peut être son rêve était maléfique et qu'elle avait réellement vécu cette histoire mais qu'avec le temps l'homme avait disparu de sa mémoire elle faisait des recherches mais ne trouva rien et quelques jours plus tard la petite voix quelle entendait lui disait : «ne cherche plus attend que le destin vienne à toi».
Depuis ce jours Mia n'osai plus sortir de chez elle car elle avait peur de revoir ce signe dont elle redoutait l'existence...Elle se posait toute sortes de question sans pouvoir y répondre .
Lorsqu'elle se rendait a son lieu de travail elle évitait chaque jours cette ruelle ou elle avait aperçu le signe qu'elle jugeait dangereux. Et toute le nuit, elle rêvai a l'accident tout en revoyait a chaque fois l'étoile si particulière mais ce quelle ne savait pas c'est que cette étoile avait un signification particulière dans une religion inconnu pour Mia .Cette étoile signifiait la mort dans des religions celtes . Mais mai ne s'en doutait pas. Elle ne savait pas que sa famille avait des descendances celtes.
Mia devait mourir mais était-elle déjà morte ?
Emma & Louise
Concours de Nouvelles Fantastiques - Louis Querbes - La double vie .
Franck Aristone était un homme grand, pas très sur de lui, il vivait seul chez sa mère alors qu'il avait bientôt 21 ans . Il travail dans l'industrie et mène une vie très dur . Sa mère étant veuve c'est lui qui s'occupait des revenues financiers .
Le 19 juin le soir après sa dur journée de travail, il rentra chez lui et alla trouver sa mère qui voulait lui parler. Il rentra dans sa chambre ou elle était allongé sur son lit.
Elle dit: « Mon fils, je ne voulais pas t'en parler jusqu'à présent car ceci est horrible, il me prend toute mon énergie et cela va bientôt me coûter la vie
. » Puis elle se tût. Son fils avait beau l'appeler, elle restait muette, elle avait le visage pâle les battements de son cur ne retentissaient plus contre sa poitrine. Un frisson traversa tout le corps de Franck, son fils était là assistant impuissant à ce qui était en train de se passer. Il s'empressa d'emmener le corps de sa mère au urgences.
Mais il crut la voir, là , debout le fixant, c'était comme si le temps c'était arrêté,il avançait vers elle mais elle reculait au fur et à mesure. Il ne croyait pas se qu'il voyait son sang se glaçait dans ses veines. Tout affoler il accourût jusqu'aux urgences ou là il poussa la porte mais , il ne vit personne et sa terreur augmentait de plus en plus alors il cria: « Un docteur, Un docteur! Vite, vite, elle ne respire plus!!» Mais là tout devient trouble devant lui, il ne voit plus rien et tombe par terre.
« Franck! Franck! Qu'est-ce que tu fait non de Dieu! Mon petit Franck , je pensais bien t'avoir perdu pendant un moment!!!»
Il ne dit rien et la serra de toute ses forces.....
Ryan et Julian
mardi 20 décembre 2011
-CONCOURS- Bellevue " LA MALEDICTION" de Félix Chantre et Emil Meyknecht
J’étais invite à une fête de monsieur Guy Ragon, un riche milliardaire ayant une grande villa dans le Beaujolais. A l’intérieur Guy étais entouré d’hommes et de femmes qui lui posait plein de question : « Pourquoi avoir organisée cette fête ici, dans votre majestueuse villa ? », « Comment avez vous fait pour gagner tout cet argent ? », « Pourquoi avoir acheter cette villa ? ». Il ne répondit qu’a une seule question. « Comment j’ai fait pour gagner tout cet argent, vous avez dit ? Je vais vous répondre, mais je pense que cette histoire va vous paraître extraordinaire, irréel, vous allez penser que je mens mais je peux vous assurer que mon histoire est vraie. Ça s’est passe il y un plus d’un an :
*
« Je vivais seul à Rouen à côté du cimetière dans lequel je travaillais, après que ma femme mourut je buvais beaucoup. Ma vie était triste, je ne voyais jamais ma famille et je n’avais plus de quoi vivre .tout ce qui me restait c’était ma petite cabane et mon travail dans ce cimetière pendant lequel je m’amusais à nettoyer les tombes et ramasser toutes les fleurs mortes que je vois. J’aurais fait n’importe quoi pour un peu d’argent mais si il aurait fallu voler ou tuer.
Un jour après mon travail je décidai de boire un coup dans un bar tout proche, le bar de Gérard. Quand je rentrais chez moi j’étais saoul, très saoul et je décide de passer par le cimetière pour rentrer chez moi. J’étais au milieu du cimetière quand je vis quelque chose briller dans une tombe familiale, c’était surement un objet déposé par un ami ou un membre de la famille du mort. D’un coup j’entendis un bruit étrange, on aurait dit le grincement d’une tombe qui s’ouvrait peu à peu. J’essayais de trouver d’ou ce bruit provenait. Ca me menait vers une allé pleine de tombes familiales. Je regardai devant moi Quand je vis une ombre sortir d’une des tombes. Était ce un arbre, un objet, peut être même un être humain ou pire encore. Je ne voulus pas le savoir et je m’enfouis en courant. Cette nuit là je fis un cauchemar bizarre ; j’étais dans une chambre sombre, il y avait devant moi un objet, je me rapprochais tout doucement de cet objet, quand d’un coup je senti quelque chose derrière moi. Je me retournais et je vis une femme pâle avec des yeux rouges. Je me réveiller et regardai autour de moi, j’étais dans mon lit. Comme il faisait déjà jour je décidai d’aller travailler. Une fois dans le cimetière je voulus savoir ce que je vis briller l’autre nuit dans cette tombe familiale. J’allai vers la tombe et je commençai à chercher. Au bout de quelque temps je vis un objet par terre. C’était un objet ressemblait à une croix semblable à une sorte de relique. Il y avait des pierres précieuses qui brillaient de mille feux sur les bras de la croix, et un énorme bijou orne de perles sur la tête de la croix. Il y avait aussi des inscriptions « degene die dit aanraakt zal vervloekt worden ». Mais cela n’avait pas d’importance pour moi, ce qui m’intéressait c’était la valeur de cet objet. Je n’en crus pas mes yeux j’allais devenir riche, riche, riche. Je n’avais qu’à montrer cet objet de valeur infini à un expert et il se jettera à mes pieds. Je vis déjà la villa dans laquelle j’allai vivre, les grands buffets pleins de nourriture, ma cave remplie de vin venue du monde entier. Il m’aurais suffit de claquer des doigt pour avoir ce que j’aurais voulu. Mais je devais être prudent, personne ne devait me voir avant que je ne vendre cet objet pour réaliser mes rêves. Je décidais donc de le l’enterrer sous le grand chêne au milieu du cimetière et de le récupérer la nuit quand tout le monde dormira paisiblement. Comme la nuit n’allait pas encore tomber je décidais de rentrer chez moi pour me désaltérer. Une fois chez moi je pris ma seule et dernière bouteille de whisky et je m’allongeai sur le canapé. Et je commençai à boire, boire jusqu'à la bouteille soit vide. Quand d’un coup je tombais dans une léthargie profonde. Mais je refis ce même cauchemar. Je vit encore cet objet dans cette chambre sombre, mais cette fois je reconnût cet objet, c’étais la relique que j’avais trouve dans le cimetière.je regardai derrière moi mais je ne vit personne ni rien, mais j’entendais des bruits de pas, quand soudain j’ouvrai les yeux. Dehors il fessait noir, le temps idéal pour aller chercher la relique. Je prit mon manteau et partit. Dès que j’étais entre dans le cimetière je me sentait suivi, observer. J’avançais à grande vitesse car j’étais stresse et impatient pour aller chercher cette relique. Je m’arrêtai devant le grand chêne et je commençai à creuser. Dès que je vus un petit bout de la croix dépasser je reçu un coup sur la tête. Quand je repris mes esprits il fessait toujours noir. Je regardai dans le trou mais la relique avait disparue. Tous mes rêves étaient fichus, sans cette relique je ne pouvais plus rien. Mais je ne me laissais pas faire. Je remarquai qu’autour de moi toutes les tombes étaient ouverts, et je revit quelque chose briller dans cette tombe familiale je décide d’y aller, mais devant la tombe je revis cette ombre. Je ne me laissais pas surprendre et j’avançais pour rentrer dans la tombe, quand tout a coup une main blanche sortie de l’ombre. Apeuré je ne pensai qu’à une chose, courir. Je m’enfuyais d’une telle vitesse que la main ce détacha de son propriétaire et resta sur mon épaule. Tout près de la sortie je m’arrêtai brusquement non pas à cause de cette main, mais je vis devant la sortie un groupe de personne marchant vers moi. Soudain une main sortie du sol et me prit un pied. J‘avais réussi a me délivrer mais ma chaussure resta coince. Je voulut partir mais c’était déjà trop tard les morts m’avaient déjà prit et soulevée. Ils me portaient à travers le cimetière et me déposaient devant la tombe de ma femme. J’éprouvais une grande tristesse mais je ne pus pleurer, trop de questions circulaient dans ma tête : « Pourquoi m’ont-ils emmenée ici ? Que se passe t-il dans ce cimetière ? Pourquoi personne n’a t-il vu cette relique avant moi ? » Je ne trouvais pas de réponse à ces questions mais je vis une tombe à côté de celle de ma femme que je ne connaissais pas. Je lisait les inscriptions : Ici repose monsieur Guy Ragon mort le 23 septembre 1913 lors d’un incendie. Je n’en pouvais plus je ne sentis plus mon corps et je tombai par terre. Quand je me réveillai j’étais à côté du grand chêne. La relique était danse trou. Je courrai vers la tombe de ma femme et je ne vis rien aucune tombe inconnue. Persuadé que ce n’étais qu’un rêve je courut aller chercher la relique et je me dirigeai vers la sorti du cimetière mais la je vis un objet marron par terre, je me rapprochais pour voir ce que c’était. C’était ma chaussure ! Ça me glaça le sang, je ressentie un tel frisson que je ne put plus bouger. Mais je pensais à la valeur de cet objet donc je m’en allais en courant, et voyant que le bar est ouvert je décide d’aller voir le bar man et de lui faire mes adieux, lui dire que je partais et que je ne reviendrai plus jamais.
*
Les gens autours de Monsieur Guy le regardèrent avec de grands yeux. Ils avaient l’air surpris et apeuré en même temps. Cependant la soirée avait déjà touché à sa fin et les invités commençaient à partir. Une fois dehors j’entendais les invitées discuter entre eux : « Moi je ne pense pas que son histoire est vrai », « De tout façon on le verra dans trois jours, on est le vingt septembre aujourd’hui », « Et si c’était vrai qui hériterait de sa fortune ».
Une fois près de chez moi je décidais d’aller voir un vieil ami qui disait toujours qu’il connaissait énormément de langues différentes. Une fois chez lui pour voir s’il ne m’avait pas menti pendant toutes ces années je lui demandai « Es-ce que tu pourrais me traduire cette phrase : Degeene die dit aanraakt word vervloekt. »Il me regarda d’un air inquiet et me demanda pourquoi cette phrase. Je lui est dit que je l’avais entendue quelque part. « Cette phrase veut dire : Celui qui touchera cet objet sera maudit. »
Trois jours plus tard on retrouva Guy Ragon enfoui sous les décombres de sa villa qui s’était effondrée à cause d’un incendie.
*
« Je vivais seul à Rouen à côté du cimetière dans lequel je travaillais, après que ma femme mourut je buvais beaucoup. Ma vie était triste, je ne voyais jamais ma famille et je n’avais plus de quoi vivre .tout ce qui me restait c’était ma petite cabane et mon travail dans ce cimetière pendant lequel je m’amusais à nettoyer les tombes et ramasser toutes les fleurs mortes que je vois. J’aurais fait n’importe quoi pour un peu d’argent mais si il aurait fallu voler ou tuer.
Un jour après mon travail je décidai de boire un coup dans un bar tout proche, le bar de Gérard. Quand je rentrais chez moi j’étais saoul, très saoul et je décide de passer par le cimetière pour rentrer chez moi. J’étais au milieu du cimetière quand je vis quelque chose briller dans une tombe familiale, c’était surement un objet déposé par un ami ou un membre de la famille du mort. D’un coup j’entendis un bruit étrange, on aurait dit le grincement d’une tombe qui s’ouvrait peu à peu. J’essayais de trouver d’ou ce bruit provenait. Ca me menait vers une allé pleine de tombes familiales. Je regardai devant moi Quand je vis une ombre sortir d’une des tombes. Était ce un arbre, un objet, peut être même un être humain ou pire encore. Je ne voulus pas le savoir et je m’enfouis en courant. Cette nuit là je fis un cauchemar bizarre ; j’étais dans une chambre sombre, il y avait devant moi un objet, je me rapprochais tout doucement de cet objet, quand d’un coup je senti quelque chose derrière moi. Je me retournais et je vis une femme pâle avec des yeux rouges. Je me réveiller et regardai autour de moi, j’étais dans mon lit. Comme il faisait déjà jour je décidai d’aller travailler. Une fois dans le cimetière je voulus savoir ce que je vis briller l’autre nuit dans cette tombe familiale. J’allai vers la tombe et je commençai à chercher. Au bout de quelque temps je vis un objet par terre. C’était un objet ressemblait à une croix semblable à une sorte de relique. Il y avait des pierres précieuses qui brillaient de mille feux sur les bras de la croix, et un énorme bijou orne de perles sur la tête de la croix. Il y avait aussi des inscriptions « degene die dit aanraakt zal vervloekt worden ». Mais cela n’avait pas d’importance pour moi, ce qui m’intéressait c’était la valeur de cet objet. Je n’en crus pas mes yeux j’allais devenir riche, riche, riche. Je n’avais qu’à montrer cet objet de valeur infini à un expert et il se jettera à mes pieds. Je vis déjà la villa dans laquelle j’allai vivre, les grands buffets pleins de nourriture, ma cave remplie de vin venue du monde entier. Il m’aurais suffit de claquer des doigt pour avoir ce que j’aurais voulu. Mais je devais être prudent, personne ne devait me voir avant que je ne vendre cet objet pour réaliser mes rêves. Je décidais donc de le l’enterrer sous le grand chêne au milieu du cimetière et de le récupérer la nuit quand tout le monde dormira paisiblement. Comme la nuit n’allait pas encore tomber je décidais de rentrer chez moi pour me désaltérer. Une fois chez moi je pris ma seule et dernière bouteille de whisky et je m’allongeai sur le canapé. Et je commençai à boire, boire jusqu'à la bouteille soit vide. Quand d’un coup je tombais dans une léthargie profonde. Mais je refis ce même cauchemar. Je vit encore cet objet dans cette chambre sombre, mais cette fois je reconnût cet objet, c’étais la relique que j’avais trouve dans le cimetière.je regardai derrière moi mais je ne vit personne ni rien, mais j’entendais des bruits de pas, quand soudain j’ouvrai les yeux. Dehors il fessait noir, le temps idéal pour aller chercher la relique. Je prit mon manteau et partit. Dès que j’étais entre dans le cimetière je me sentait suivi, observer. J’avançais à grande vitesse car j’étais stresse et impatient pour aller chercher cette relique. Je m’arrêtai devant le grand chêne et je commençai à creuser. Dès que je vus un petit bout de la croix dépasser je reçu un coup sur la tête. Quand je repris mes esprits il fessait toujours noir. Je regardai dans le trou mais la relique avait disparue. Tous mes rêves étaient fichus, sans cette relique je ne pouvais plus rien. Mais je ne me laissais pas faire. Je remarquai qu’autour de moi toutes les tombes étaient ouverts, et je revit quelque chose briller dans cette tombe familiale je décide d’y aller, mais devant la tombe je revis cette ombre. Je ne me laissais pas surprendre et j’avançais pour rentrer dans la tombe, quand tout a coup une main blanche sortie de l’ombre. Apeuré je ne pensai qu’à une chose, courir. Je m’enfuyais d’une telle vitesse que la main ce détacha de son propriétaire et resta sur mon épaule. Tout près de la sortie je m’arrêtai brusquement non pas à cause de cette main, mais je vis devant la sortie un groupe de personne marchant vers moi. Soudain une main sortie du sol et me prit un pied. J‘avais réussi a me délivrer mais ma chaussure resta coince. Je voulut partir mais c’était déjà trop tard les morts m’avaient déjà prit et soulevée. Ils me portaient à travers le cimetière et me déposaient devant la tombe de ma femme. J’éprouvais une grande tristesse mais je ne pus pleurer, trop de questions circulaient dans ma tête : « Pourquoi m’ont-ils emmenée ici ? Que se passe t-il dans ce cimetière ? Pourquoi personne n’a t-il vu cette relique avant moi ? » Je ne trouvais pas de réponse à ces questions mais je vis une tombe à côté de celle de ma femme que je ne connaissais pas. Je lisait les inscriptions : Ici repose monsieur Guy Ragon mort le 23 septembre 1913 lors d’un incendie. Je n’en pouvais plus je ne sentis plus mon corps et je tombai par terre. Quand je me réveillai j’étais à côté du grand chêne. La relique était danse trou. Je courrai vers la tombe de ma femme et je ne vis rien aucune tombe inconnue. Persuadé que ce n’étais qu’un rêve je courut aller chercher la relique et je me dirigeai vers la sorti du cimetière mais la je vis un objet marron par terre, je me rapprochais pour voir ce que c’était. C’était ma chaussure ! Ça me glaça le sang, je ressentie un tel frisson que je ne put plus bouger. Mais je pensais à la valeur de cet objet donc je m’en allais en courant, et voyant que le bar est ouvert je décide d’aller voir le bar man et de lui faire mes adieux, lui dire que je partais et que je ne reviendrai plus jamais.
*
Les gens autours de Monsieur Guy le regardèrent avec de grands yeux. Ils avaient l’air surpris et apeuré en même temps. Cependant la soirée avait déjà touché à sa fin et les invités commençaient à partir. Une fois dehors j’entendais les invitées discuter entre eux : « Moi je ne pense pas que son histoire est vrai », « De tout façon on le verra dans trois jours, on est le vingt septembre aujourd’hui », « Et si c’était vrai qui hériterait de sa fortune ».
Une fois près de chez moi je décidais d’aller voir un vieil ami qui disait toujours qu’il connaissait énormément de langues différentes. Une fois chez lui pour voir s’il ne m’avait pas menti pendant toutes ces années je lui demandai « Es-ce que tu pourrais me traduire cette phrase : Degeene die dit aanraakt word vervloekt. »Il me regarda d’un air inquiet et me demanda pourquoi cette phrase. Je lui est dit que je l’avais entendue quelque part. « Cette phrase veut dire : Celui qui touchera cet objet sera maudit. »
Trois jours plus tard on retrouva Guy Ragon enfoui sous les décombres de sa villa qui s’était effondrée à cause d’un incendie.
-CONCOURS- Bellevue "DOUBLE FACE de Mathilde Poncet et Océane Manolios
Moi c'est Marine, j’ai 25 ans, je suis en dernière année de psychologie à Paris je suis orpheline. J'ai perdu mes parents très jeune et ma sœur Diane il y a quelques mois a disparu du jour au lendemain malgré toutes mes recherches, aujourd'hui je n'ai plus d'espoir la police clôture l'affaire ma sœur étant majeure.
Elle devais se marier le mois prochain avec Brian un brillant médecin. Leur histoire fut un coup de foudre .
Il y a quelques mois , j'ai échappé à un accident de voiture.
Elle devais se marier le mois prochain avec Brian un brillant médecin. Leur histoire fut un coup de foudre .
Il y a quelques mois , j'ai échappé à un accident de voiture.
Après avoir passé la journée chez des amis , j' étais sur le chemin du retour quand soudain du fond de la nuit un cri affreux se fit entendre un vent glacial traversa la voiture et une lumière très intense m éblouie, elle était là face à moi, immobile je me rappelle d'un cri "attention"puis plus rien... le silence.
Six mois plus tard je me réveille clouée sur un lit d’hôpital cassée des pieds à la tête. Toujours en tête cette femme triste et blafarde qui me regarde, elle me parle elle me supplie mais je n'entend pas.
Il m'a fallu un an de rééducation pour être de nouveau moi. C 'est dans cet hôpital que Brian s'est occupé de moi, et que mes sentiments ont changé à son égard , que je suis tombée amoureuse de lui .
Grâce à lui, j'ai repris goût à la vie même si mes cauchemars étaient de plus en plus présent chaque nuit cette femme revenait me parler. Mais je restait sourde à ses supplications.
J'ai donc décidé un matin de suivre une séance d'hypnose pour essayer de comprendre ce qui m'arrivait. Brian s'y opposa il pensait qu'il fallait oublier.
L’essai ne fut pas très clair, cette femme appelait Diane, elle devait faire attention à quelqu'un, elle était en danger...
Je ne comprenais pas comment cette apparition connaissait ma sœur j'ai tout de suite fait part de mes craintes à Brian, mais il restait impassible, il voulait lui aussi oublier,
" arrête de te torturer, ta sœur est partie tout simplement, je ne veux plus en parler"
C'est à la fin de l été que nous avons décidé de vivre ensemble chez Brian, il possède une charmante maison en dehors de la ville.
Et tout doucement La vie repris son cours, mes études terminées je cherchais activement un travail, les journées étaient longues seule dans cette maison.
Un soir de décembre , j’étais seule Brian était parti à un colloque à Paris. Je descendit dans la cuisine prendre un verre de lait car je n’arrivais pas à m'endormir. en remontant dans la chambre j’entendis un bruit qui venait de la chambre d'amis, je me dirigeait vers elle quand je vis de la lumière sous la porte.
Je ne me rappelais pas avoir laissé éclairé ,cette pièce n'était plus utilisée c'était l ancienne chambre de Brian et Diane, mais en arrivant chez décidé qu'on s'installerait à l étage.
Doucement j’ouvris la porte et là stupéfaction la coiffeuse de Diane était allumée et la même femme de l'accident me regardait.
Je n'était pas folle. Il y avait un visage sur le miroir. La pièce devint glaciale et une brise souffla sur mes cheveux, je n'ai pas ressentit de danger mais mon corps tremblait. Soudain la femme sortit du miroir elle était là devant moi elle semblait flotter.
Je me frotta les yeux , puis les ouvrit pour voir si cela était bien réel . elle était toujours là , elle n’avait pas bougée. En la regardant j’eu l’impression qu’elle voulais me parler .
« Marine , Marine ! »
Ais je perdu la raison ?
Je me frotta de nouveau les yeux .
« Vous ne me connaissez pas je m'appelle Lucie, je suis la première femme de Brian, vous devez partir tout de suite avant qu'il ne rentre vous êtes en danger, fuyez... »
Marine voulu en savoir plus:"Mais pourquoi, que me voulez vous ?"
Elle répliqua aussitôt :
"partez, partez loin de lui ou vous mourrez comme Diane"
"Mais comment connaissez vous ma sœur ?"
" Elle est morte, comme moi, et comme vous si vous ne partez pas"
"c 'est impossible !!! Prouvez le , dite moi où elle est ?
" il procède toujours pareil il nous met en confiance, nous éloigne de notre famille et nos amis "
Marine ne comprenais pas
"Mais qui ?"
"Brian un meurtrier"
"c'est impossible pourquoi ?"
- Il ne voulait pas qu'elle sache qu'il avait déjà été marié avant et que ses épouses avaient disparue mystérieusement quelques mois après leur mariage. Il vous tuera aussi. Bryan c'est un malade. un coureur de jupons . Mais par chance vous êtes encore en vie, n'attendez plus partez tout de suite .
- "Je ne peux pas je dois retrouver Diane, elle n'est peut être pas morte.
- Montez au grenier et vous verrez que je dis la vérité . »
Lucie disparue , Marine affolée alla chercher une lampe puis monta au grenier , arrivant devant la porte un frisson d’angoisse la transperça , elle poussa la porte , alluma ma lampe et la fit parcourir dans tous les recoins de la pièce quand enfin elle découvrit le corps de sa sœur découpé et pendu à la charpente …
Six mois plus tard je me réveille clouée sur un lit d’hôpital cassée des pieds à la tête. Toujours en tête cette femme triste et blafarde qui me regarde, elle me parle elle me supplie mais je n'entend pas.
Il m'a fallu un an de rééducation pour être de nouveau moi. C 'est dans cet hôpital que Brian s'est occupé de moi, et que mes sentiments ont changé à son égard , que je suis tombée amoureuse de lui .
Grâce à lui, j'ai repris goût à la vie même si mes cauchemars étaient de plus en plus présent chaque nuit cette femme revenait me parler. Mais je restait sourde à ses supplications.
J'ai donc décidé un matin de suivre une séance d'hypnose pour essayer de comprendre ce qui m'arrivait. Brian s'y opposa il pensait qu'il fallait oublier.
L’essai ne fut pas très clair, cette femme appelait Diane, elle devait faire attention à quelqu'un, elle était en danger...
Je ne comprenais pas comment cette apparition connaissait ma sœur j'ai tout de suite fait part de mes craintes à Brian, mais il restait impassible, il voulait lui aussi oublier,
" arrête de te torturer, ta sœur est partie tout simplement, je ne veux plus en parler"
C'est à la fin de l été que nous avons décidé de vivre ensemble chez Brian, il possède une charmante maison en dehors de la ville.
Et tout doucement La vie repris son cours, mes études terminées je cherchais activement un travail, les journées étaient longues seule dans cette maison.
Un soir de décembre , j’étais seule Brian était parti à un colloque à Paris. Je descendit dans la cuisine prendre un verre de lait car je n’arrivais pas à m'endormir. en remontant dans la chambre j’entendis un bruit qui venait de la chambre d'amis, je me dirigeait vers elle quand je vis de la lumière sous la porte.
Je ne me rappelais pas avoir laissé éclairé ,cette pièce n'était plus utilisée c'était l ancienne chambre de Brian et Diane, mais en arrivant chez décidé qu'on s'installerait à l étage.
Doucement j’ouvris la porte et là stupéfaction la coiffeuse de Diane était allumée et la même femme de l'accident me regardait.
Je n'était pas folle. Il y avait un visage sur le miroir. La pièce devint glaciale et une brise souffla sur mes cheveux, je n'ai pas ressentit de danger mais mon corps tremblait. Soudain la femme sortit du miroir elle était là devant moi elle semblait flotter.
Je me frotta les yeux , puis les ouvrit pour voir si cela était bien réel . elle était toujours là , elle n’avait pas bougée. En la regardant j’eu l’impression qu’elle voulais me parler .
« Marine , Marine ! »
Ais je perdu la raison ?
Je me frotta de nouveau les yeux .
« Vous ne me connaissez pas je m'appelle Lucie, je suis la première femme de Brian, vous devez partir tout de suite avant qu'il ne rentre vous êtes en danger, fuyez... »
Marine voulu en savoir plus:"Mais pourquoi, que me voulez vous ?"
Elle répliqua aussitôt :
"partez, partez loin de lui ou vous mourrez comme Diane"
"Mais comment connaissez vous ma sœur ?"
" Elle est morte, comme moi, et comme vous si vous ne partez pas"
"c 'est impossible !!! Prouvez le , dite moi où elle est ?
" il procède toujours pareil il nous met en confiance, nous éloigne de notre famille et nos amis "
Marine ne comprenais pas
"Mais qui ?"
"Brian un meurtrier"
"c'est impossible pourquoi ?"
- Il ne voulait pas qu'elle sache qu'il avait déjà été marié avant et que ses épouses avaient disparue mystérieusement quelques mois après leur mariage. Il vous tuera aussi. Bryan c'est un malade. un coureur de jupons . Mais par chance vous êtes encore en vie, n'attendez plus partez tout de suite .
- "Je ne peux pas je dois retrouver Diane, elle n'est peut être pas morte.
- Montez au grenier et vous verrez que je dis la vérité . »
Lucie disparue , Marine affolée alla chercher une lampe puis monta au grenier , arrivant devant la porte un frisson d’angoisse la transperça , elle poussa la porte , alluma ma lampe et la fit parcourir dans tous les recoins de la pièce quand enfin elle découvrit le corps de sa sœur découpé et pendu à la charpente …
-CONCOURS- Bellevue "LA BAGUE" de Thomas Clerc et Kévin Thiry
Par une journée sombre et pluvieuse, j’ai passé mon après-midi à écrire
une histoire, qui m'a profondément marqué. Cela se passait en Normandie.
Un jour, je rentrai du travail et je trouvai devant ma porte un
coffret d’apparence banale. Je le pris, l’ouvris et trouvai une bague accompagnée d'une lettre où il y était écrit: « A mon cher époux, je te lègue cette bague, j'espère que tu en prendras soin ».
A ce moment là, je pris la bague et je crus sentir des battements de cœur, mais je dus me raisonner et me dire que cela était impossible. Mais malgré tout, je restai en admiration devant cette bague et quand je la passa à mon doigt je ressentis une sensation étrange que je ne pus décrire.
Le soir même, pour me changer les idées je décidai d'aller en ville. Pour une fois, la rue était bien éclairée et il y avait beaucoup de monde.
Je vis mes amis dans un bar et je décidai de les rejoindre mais à ma grande surprise quand j'y rentrai, il n'y avait personne et il y faisait sombre. Je les appelai mais personne ne me répondit. Le croyant fermé, je ressortis. Je rentrai chez moi choqué. J’essayai de dormir, mais le sommeil ne vint pas.
A cause de mon insomnie, je partis de bonne heure me promener dans la forêt. Au bout d'une heure je décidai de rentrer mais à ce moment-là je vis une femme entre les arbres. Mais soudain j'entendis une branche casser et à ma droite une quantité impressionnante de corbeaux s'envola comme si quelqu'un les avait effrayés. Puis je vis une ombre disparaître à l'endroit même où les corbeaux s'étaient envolés. Apeuré, je courus jusqu’à ma maison, ébranlé par cette apparition.
En arrivant chez moi, je passai devant mon miroir et je vis à sa surface des symboles tracés en lettre de sang. Je m'approchai du miroir et soudain je vis une femme dans le miroir derrière moi. Effrayé, je me retournai brusquement et la bague me tomba du doigt. Les symboles et la femme disparurent.
Une semaine plus tard, je décidai d'aller chez le médecin car je commençais à avoir de la fièvre mais dans son cabinet je vis le portrait de cette même femme. Je demandai au médecin de qu'il s'agissait mais il me signala qu'il n'y avait aucun tableau. Soudain je dis à voix haute : « Mais suis-je fou ? ».
Je rentrai chez moi très fatigué mais surtout en colère contre cette bague, je la posa donc par terre et alla chercher un marteau. Je tapai le plus fort que je pus dessus et elle se brisa en deux. A ce moment-là, j'entendis un grand cri de femme.
Je me réveillai en sursaut dans mon lit et je me demandai si je n'avais pas rêver. Mais quand j’allai dans mon salon, je vis une bague brisée en deux au sol.
-CONCOURS- Bellevue "FOLIE TRAGIQUE" de Rémi Thiebaut et Antoine Sterna
Je toque à la porte …Mais personne ne vient me répondre. Sentant que quelque chose d'anormal est en train de se produire, je défonce la porte. En effet, je n'ai plus aucune nouvelle de mon ami depuis douze jours,et avant d'alerter les autorités, je préfère voir moi-même ce qui s'est passé. J'entre dans le hall d'entrée … personne … il fait noir … j'allume la lumière … rien ne se passe … probablement une panne de courant … Je sors donc une lampe de ma poche et je commence à fouiller toutes les pièces … personne … j'entre dans la chambre … Et là je le vois ! Son corps gît, pendu par sa ceinture au lit à baldaquin. J'ai une boule dans la gorge, j'ai envie de vomir, pourquoi s'est-il suicidé ??? Là, par terre un livre, je l'ouvre et je découvre que c'est le journal intime mon ami. Afin d'en savoir plus, je décide de le lire …
6 février 2002 :
C'était un soir, il faisait très sombre, je rentrai chez moi à pied car j'étais à l'anniversaire de mon meilleur ami Nicolas; la soirée était super, on avait dansé, rigolé, mais même si j'étais heureux, au fond de moi quelque chose n'allait pas, je ne saurais pas vous décrire quoi, car il n'y a pas de mots pour ça. Mais c'était étrange, comme si quelque chose ou quelqu'un était en moi , c'est à ce moment-là que j’eus l'impression que quelqu’un criait.
C'était une voix aiguë, comme si ma petite fille me parlais. Elle a sept ans et c'est une fille adorable. Je continuai alors mon chemin sans faire attention à ces voix qui me hantaient, car j'étais ivre.. Une fois rentré chez moi je partis me reposer.
7 février 2002 :
Aujourd'hui, j'ai mal à la tête, très mal, j' ai déjeuné malgré tout, je me suis habillé, et j'ai été rassuré de constaté que les voix n'étaient que des hallucinations, probablement dues a l'alcool. J'avais ensuite rendez-vous à mon travail, donc je mis mes chaussures, je sortis de chez moi et j'empruntai le même chemin que hier pour aller chercher ma voiture. Une fois dans ma voiture, j'entendis de nouveau les mêmes voix qu'hier, je crus un instant que la radio était allumée mais je me rendis compte que ces voix provenaient de ma tête. Devenais-je fou ? Pourquoi les voix répétaient sans cesse :
« pourquoi m'as tu tué ? »
Je pris peur et je retournai rapidement chez moi voir ma fille et vérifier si tout allait bien. Mais je ne la trouvai pas, je commençai alors à m'énerver à force de fouiller tout les recoins de ma maison … Et d'un seul coup, je me souvins de tout, vraiment de tout. Je l'avais laissée dehors à proximité de la maison de Nicolas. Effrayé, je courus, vite, très vite, mais elle n'était plus là, je la cherchais dans tout le quartier.
A la fin de la journée, j'étais désemparé, perdu et fatigué. Mais tout à coup, je vis une silhouette lumineuse ! Reconnaissant ma fille, je courus vers elle, la pris dans mes bras et je lui jurai de ne plus jamais l'abandonner. Nous rentrâmes alors à la maison et nous allâmes nous coucher après cette dure journée.
8 février 2002 :
Tout allait pour le mieux, jusqu'à ce que je me rende compte qu'il se passait quelque chose d'anormal : ma fille ne mangeait pas et ne parlait jamais …
9 février 2002 :
Aujourd'hui, quelque chose d'horrible, d'effrayant, d'inimaginable s'est passé !!! Ma fille est passé devant un miroir et elle n'avait pas de reflet !!! Étais-je fou ??? Avais-je vraiment retrouvé et ramené ma fille avant-hier ??? Et si j’hallucinai, depuis combien de temps le faisais-je ?
Effrayé, je pris ma fille dans mes bras, mais mes mains ne rencontrèrent que du vide. Horrifié, je courus téléphoner à mon père pour vérifier si mes doutes étaient fondés. Je lui raconta tout à propos de ma fille, mais il me déclara :
« Ta fille est morte dans l'accident avec ta femme mon fils, elle est morte alors qu'elle était encore dans le ventre de sa mère. Tu ne te souviens pas de ça ? Est ce que ça va ? »
Je ne répondis pas et je raccrochai le téléphone … Et soudain, je me rappelai de cet accident maudit … De ma femme morte avec notre fille dans son ventre … Je suis donc vraiment fou … Je pris ma ceinture, la nouai à mon lit, et l'attachai à mon cou. Et finalement, je décidai de mettre fin à mes jours.
-CONCOURS- Bellevue "LE VILLAGE MORT" de Quentin Croci et Julia Fadet
J’étais tranquillement installé dans mon salon avec mon petit-fils, en train de lui lire une histoire. Je voyais qu’il était distrait par autre chose, car il regardait par la fenêtre la neige tomber. Il avait l’air inquiet :
« Que se passe-t-il ? Demandais-je. Tu as l’air préoccupé.
- Oui. Je n’aime pas trop cette histoire. Je préfèrerais que tu me racontes celle de ton fils, tu sais, mon oncle qui est mort.
- Non tu es trop petit pour l’entendre. Je ne veux pas que tu fasses des cauchemars la nuit à cause de moi.
- Mais ne t’inquiète pas ,je suis sûr qu’elle ne me fera même pas peur. En plus j’ai huit ans, je suis grand maintenant. S’il te plait grand-père, je t’en supplie, je veux l’entendre.
- Très bien, pour te faire plaisir. »
J’avais beau lui dire ceci, je n’avais pas très envie de la lui raconter. Mais il sait y faire avec moi, je ne lui résiste jamais bien longtemps.
« C’est l’histoire de ton oncle et de ta tante. Ils avaient une petite fille de huit ans, comme toi. Ils vivaient dans un petit village de Normandie d’une centaine d’habitants. Ils étaient les plus heureux parents du monde. Jusqu’au jour où ce meurtrier est entré dans la maison par effraction la nuit,et a poignardé la petite fille, on ne sait pourquoi. Sans doute un homme jaloux de ton oncle, comme beaucoup. Depuis ce jour, leur vie a basculé. Mais heureusement, cet homme a été retrouvé et aujourd’hui, il est en prison et y restera jusqu’à sa mort. Mais depuis la mort de ta cousine, certains phénomènes étranges se sont produits : toutes les personnes ayant habité au village ont été poignardées.
Toute les personnes ayant vu un de leur proche se faire tuer parlent des mêmes choses étranges : un souffle d’air frais, puis un brouillard s’approchant de la victime endormie, un poignard, sortant de nulle part qui se rapproche de plus en plus, jusqu’au moment où il vient se planter dans la poitrine du pauvre villageois et en même temps, un cri : celui d’une petite fille hurlant sa joie …
Moi mon petit, j’ai vu ta grand-mère se faire poignarder. Je me souviendrais de ce jour toute ma vie. C’était en 1932. J’étais en train de faire le guet, assis sur une chaise à côté du lit où dormait ma femme, mon fusil à la main. Je guettais une arrivée quelconque, en pensant plutôt que ce serait un tueur en série qui apparaitrait. Tout à coup, un courant d’air, glaçant le sang, un brouillard angoissant, puis le fameux poignard…
J’étais terrifié, pétrifié. Mais je ne sais quelle force s’empara de moi et me fit tirer sur le poignard. La balle disparut dans le brouillard.
Le couteau se tourna dans ma direction me menaçant comme porté par une personne invisible. J’étais tellement affolé que je sortis de la chambre en moins de deux. Je m’enfermai dans la bibliothèque. J’y restais pendant plusieurs heures pour réfléchir. Je savais qu’en ressortant, je retrouverais ma femme morte.
Et en effet, elle avait un poignard planté dans la poitrine. J’avais peur. Peur que ce moment horrible ne se reproduise. Peur de mourir à mon tour. Je pleurais, assis à côté d’elle. Je l’embrassais une dernière fois. Ses lèvres étaient froides comme la glace, et comme le courant d’air que j’avais ressenti avant sa mort.
J’appelais la police. Aucune empreinte ne fut trouvée sur le couteau. Je fus interrogé de nombreuses fois. On me prenait pour un fou. J’ai même failli aller en prison, car j’étais soupçonné. Ton père et ton oncle ne me parlaient plus, car ils ne croyaient pas, eux non plus, à mes explications surnaturelles. J’étais tellement déçu que j’ai tenté de me suicider. Mais heureusement, ma voisine m’en a dissuadé quand elle a vu que je préparais la corde pour me pendre.
Ensuite, tout alla très vite. Tous les habitants du village moururent dans d’atroces souffrances. Que leur est-il arrivé ? Pourquoi sont-ils morts ? Qui les a tué ? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête.
Toi, mon enfant, tu te demandes sûrement comment j’ai fait pour survivre. Comme tu le sais, tes parents vivaient en Rhône-Alpes, tout près de Lyon. Comme ils voyaient que je déprimais, ils m’ont invité à passer un peu de temps chez eux. J’y suis resté pendant deux ans. Durant cette période , tous les villageois se firent tuer : les amis, la famille, les voisins, tout ceux que je connaissais… mes fils étaits les dernières personnes encore vivantes que j’aimais.
Ton oncle fut le dernier survivant du village. Il savait que son heure viendrait. Il n’avait pas peur. Il n’avait jamais peur. C’était un brave homme. Il attendait la mort avec curiosité et impatience. Car, il avait perdu les personnes pour lui les plus chères à son cœur :sa fille, puis sa femme. Mais il était tout de même anxieux de savoir ce qui se passerait, des sensations que lui procurerait le poignard planté dans la poitrine, la mort gagnant son corps. Il jouissait de savoir ce qu’était la mort. Les quatre dernières heures de sa vie, il les passa avec moi au téléphone. Il me racontait tous les moments de sa vie qui l’avaient marqué. Dès que les phénomènes étranges apparurent, il s’empressa de tout me raconter : l’arrivée du brouillard, de l’air glacé, le poignard,… il me dit tout. Il pleurait. Je pleurais avec lui. Je lui criais de s’enfuir, mais il ne voulait pas. Je hurlais au téléphone, je ne savais plus quoi lui dire. Ce moment était intense et oppressant. Je n’avais jamais éprouvé ce sentiment. Je refusais de réaliser que c’était la dernière fois que je lui parlais. Il me dit « je t’aime mon père ». Je lui répondis « Je t’aime mon fils ». Il allait vraiment me manquer. Je m’affolais, criais encore plus fort. Il ne disait rien d’autre que « Je t’aime papa, je t’aime tellement ». Il commençait à regretter de ne pas s’être enfui plus tôt, car désormais, il était trop tard. Il allait mourir. Il finit par me dire « Je suis sincèrement désolé de te faire tout ce mal ».
Ce furent ses derniers mots. Puis d’un coup, il ne dit plus rien. Un cri épouvantable me fit sursauter. «C’était la voix de ma petite-fille, ta cousine …»
Mon petit fils me regardait avec de grands yeux écarquillés. Je pense que je n’aurais jamais dû lui raconter cette histoire, qu’on aurait pu croire toute droit sortie d’un film. Je finis de boire ma bouteille de whisky pour me détendre un peu tant cette histoire me terrorisait.
A chaque fois que je la raconte, je suis aussi choqué que si je la vivais à ce moment.
C’est la fin de la journée. J’ai déjà ramené le petit à sa mère. Je me laisse tomber dans mon fauteuil en repensant à cette journée, qui m’a rappelé de mauvais souvenirs. J’allume la télévision et regarde les informations, sans même m’y intéresser. Mais subitement, un bruit inquiétant me fait lever de ma chaise, surpris. Je suis debout, face au couloir. On dirait q’une personne enfermée dans ma chambre cherche à s’en échapper. J’avance lentement. Au bout d’une dizaine de secondes, la porte s’ouvre et un couteau en sort, plein de sang …
« Que se passe-t-il ? Demandais-je. Tu as l’air préoccupé.
- Oui. Je n’aime pas trop cette histoire. Je préfèrerais que tu me racontes celle de ton fils, tu sais, mon oncle qui est mort.
- Non tu es trop petit pour l’entendre. Je ne veux pas que tu fasses des cauchemars la nuit à cause de moi.
- Mais ne t’inquiète pas ,je suis sûr qu’elle ne me fera même pas peur. En plus j’ai huit ans, je suis grand maintenant. S’il te plait grand-père, je t’en supplie, je veux l’entendre.
- Très bien, pour te faire plaisir. »
J’avais beau lui dire ceci, je n’avais pas très envie de la lui raconter. Mais il sait y faire avec moi, je ne lui résiste jamais bien longtemps.
« C’est l’histoire de ton oncle et de ta tante. Ils avaient une petite fille de huit ans, comme toi. Ils vivaient dans un petit village de Normandie d’une centaine d’habitants. Ils étaient les plus heureux parents du monde. Jusqu’au jour où ce meurtrier est entré dans la maison par effraction la nuit,et a poignardé la petite fille, on ne sait pourquoi. Sans doute un homme jaloux de ton oncle, comme beaucoup. Depuis ce jour, leur vie a basculé. Mais heureusement, cet homme a été retrouvé et aujourd’hui, il est en prison et y restera jusqu’à sa mort. Mais depuis la mort de ta cousine, certains phénomènes étranges se sont produits : toutes les personnes ayant habité au village ont été poignardées.
Toute les personnes ayant vu un de leur proche se faire tuer parlent des mêmes choses étranges : un souffle d’air frais, puis un brouillard s’approchant de la victime endormie, un poignard, sortant de nulle part qui se rapproche de plus en plus, jusqu’au moment où il vient se planter dans la poitrine du pauvre villageois et en même temps, un cri : celui d’une petite fille hurlant sa joie …
Moi mon petit, j’ai vu ta grand-mère se faire poignarder. Je me souviendrais de ce jour toute ma vie. C’était en 1932. J’étais en train de faire le guet, assis sur une chaise à côté du lit où dormait ma femme, mon fusil à la main. Je guettais une arrivée quelconque, en pensant plutôt que ce serait un tueur en série qui apparaitrait. Tout à coup, un courant d’air, glaçant le sang, un brouillard angoissant, puis le fameux poignard…
J’étais terrifié, pétrifié. Mais je ne sais quelle force s’empara de moi et me fit tirer sur le poignard. La balle disparut dans le brouillard.
Le couteau se tourna dans ma direction me menaçant comme porté par une personne invisible. J’étais tellement affolé que je sortis de la chambre en moins de deux. Je m’enfermai dans la bibliothèque. J’y restais pendant plusieurs heures pour réfléchir. Je savais qu’en ressortant, je retrouverais ma femme morte.
Et en effet, elle avait un poignard planté dans la poitrine. J’avais peur. Peur que ce moment horrible ne se reproduise. Peur de mourir à mon tour. Je pleurais, assis à côté d’elle. Je l’embrassais une dernière fois. Ses lèvres étaient froides comme la glace, et comme le courant d’air que j’avais ressenti avant sa mort.
J’appelais la police. Aucune empreinte ne fut trouvée sur le couteau. Je fus interrogé de nombreuses fois. On me prenait pour un fou. J’ai même failli aller en prison, car j’étais soupçonné. Ton père et ton oncle ne me parlaient plus, car ils ne croyaient pas, eux non plus, à mes explications surnaturelles. J’étais tellement déçu que j’ai tenté de me suicider. Mais heureusement, ma voisine m’en a dissuadé quand elle a vu que je préparais la corde pour me pendre.
Ensuite, tout alla très vite. Tous les habitants du village moururent dans d’atroces souffrances. Que leur est-il arrivé ? Pourquoi sont-ils morts ? Qui les a tué ? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête.
Toi, mon enfant, tu te demandes sûrement comment j’ai fait pour survivre. Comme tu le sais, tes parents vivaient en Rhône-Alpes, tout près de Lyon. Comme ils voyaient que je déprimais, ils m’ont invité à passer un peu de temps chez eux. J’y suis resté pendant deux ans. Durant cette période , tous les villageois se firent tuer : les amis, la famille, les voisins, tout ceux que je connaissais… mes fils étaits les dernières personnes encore vivantes que j’aimais.
Ton oncle fut le dernier survivant du village. Il savait que son heure viendrait. Il n’avait pas peur. Il n’avait jamais peur. C’était un brave homme. Il attendait la mort avec curiosité et impatience. Car, il avait perdu les personnes pour lui les plus chères à son cœur :sa fille, puis sa femme. Mais il était tout de même anxieux de savoir ce qui se passerait, des sensations que lui procurerait le poignard planté dans la poitrine, la mort gagnant son corps. Il jouissait de savoir ce qu’était la mort. Les quatre dernières heures de sa vie, il les passa avec moi au téléphone. Il me racontait tous les moments de sa vie qui l’avaient marqué. Dès que les phénomènes étranges apparurent, il s’empressa de tout me raconter : l’arrivée du brouillard, de l’air glacé, le poignard,… il me dit tout. Il pleurait. Je pleurais avec lui. Je lui criais de s’enfuir, mais il ne voulait pas. Je hurlais au téléphone, je ne savais plus quoi lui dire. Ce moment était intense et oppressant. Je n’avais jamais éprouvé ce sentiment. Je refusais de réaliser que c’était la dernière fois que je lui parlais. Il me dit « je t’aime mon père ». Je lui répondis « Je t’aime mon fils ». Il allait vraiment me manquer. Je m’affolais, criais encore plus fort. Il ne disait rien d’autre que « Je t’aime papa, je t’aime tellement ». Il commençait à regretter de ne pas s’être enfui plus tôt, car désormais, il était trop tard. Il allait mourir. Il finit par me dire « Je suis sincèrement désolé de te faire tout ce mal ».
Ce furent ses derniers mots. Puis d’un coup, il ne dit plus rien. Un cri épouvantable me fit sursauter. «C’était la voix de ma petite-fille, ta cousine …»
Mon petit fils me regardait avec de grands yeux écarquillés. Je pense que je n’aurais jamais dû lui raconter cette histoire, qu’on aurait pu croire toute droit sortie d’un film. Je finis de boire ma bouteille de whisky pour me détendre un peu tant cette histoire me terrorisait.
A chaque fois que je la raconte, je suis aussi choqué que si je la vivais à ce moment.
C’est la fin de la journée. J’ai déjà ramené le petit à sa mère. Je me laisse tomber dans mon fauteuil en repensant à cette journée, qui m’a rappelé de mauvais souvenirs. J’allume la télévision et regarde les informations, sans même m’y intéresser. Mais subitement, un bruit inquiétant me fait lever de ma chaise, surpris. Je suis debout, face au couloir. On dirait q’une personne enfermée dans ma chambre cherche à s’en échapper. J’avance lentement. Au bout d’une dizaine de secondes, la porte s’ouvre et un couteau en sort, plein de sang …
-CONCOURS- Bellevue "LA POSSESSION" de Meghan Jadot et Mathilde Delacroix
Je venais d’emménager, au Bessat, près de Saint-Étienne où j’avais acheté une maison abandonnée depuis près de 50 ans. Un soir, alors que j’allais me promener, je m’arrêtai dans un petit bar restaurant et le tavernier me conta l’histoire de l’ancien propriétaire. La voici :
*
C’était un homme, 54 ans, cheveux blancs, grosse barbe, seul et fou ; rejeté en raison de ses antécédents de meurtriers où il fut relâché pour manque de preuves, 6 jeunes femmes tuées par ce monstre qui a habité ma maison et qui sortait tous les soirs ivres du bar du village.
Comme tous les soirs, il rentra chez lui et s’endormit. Il fit un rêve étrange, une silhouette confuse qui lui répétait : « Tu paieras pour ce que tu as fait et le diable t’emportera » et un cri affreux retentissait. Cette phrase était celle de la mère de sa première victime. D’un coup, il se réveilla les mains crispées, la respiration coupée, trempé de sueur avec une boule au ventre, une frayeur qui le rongeait de l’intérieur.
Mais ce soir là, rien ne se passa comme prévu. Endormi, il se réveilla les yeux rouges luisants, assoiffé de désir. Il sortit chercher sa proie dans la nuit sombre et glaciale errant dans la pénombre des rues, tel un loup. Le plus étonnant, c’est qu’il ne se souvenait pas de ce qui c’était passé cette nuit. Alors évidemment quand il se réveilla dans l’église du village, il se persuada de l’absurdité d’une telle idée. Comment pouvait-il être dans l’église ? Il s’aperçut alors qu’il ne se souvenait plus de ce qui c’était passé après son sixième verre. Stupéfié, angoissé et confus, il rentra se cloitrer chez lui. Etais-ce l’effet de l’alcool ? Avait-il perdu la raison ? Il se disait que ce n’était rien qu’une illusion. Le soir même, il décida quand même d’aller au bar et par précaution ne but que 4 verres. Cela ne fut pas suffisant.
Il se réveilla une nuit de pleine lune, la mémoire perdue, sur la tombe de Louise Durand, sa première victime. Il doutait de lui même. Il crut entendre un craquement de feuilles comme si quelqu’un marchait à proximité. Il se retourna … rien … le craquement inexplicable retentit encore, il voulut crier : « Qui est là ? » mais il n’avait plus de voix. Horrifié, il s’enfuit avec la sensation d’être oppressé par cet être ou ce phénomène mystérieux. Ce soir là, on aurait pu se croire dans un film d’horreur.
Malgré cette expérience étrange, il retourna au bar et prit 3 verres. Ces 3 verres eurent leur effet. Il se réveilla chez lui et se souvenait d’être rentré. Heureux et alla prendre une douche. Il ouvrit la porte et là, on eût dit une chambre noire pleine de photos d’une jeune femme, grande, blonde à la peau mate. Elle semblait ne pas être au courant qu’elle était prise en photo. La ressemblance avec Louise Durand était frappante !
Pendant son sommeil, il se retourna, sentit quelque chose au dessus de lui. Il regarda, c’était une latte de sommier ! Oui, oui, une latte. Où était-il ? Sous un lit ? Il sortit mais avant il vit une inscription. « Je suis de retour !». Effrayé, il rampa hors de dessous du lit. Mais bon sang où était-il ? Dans une chambre de fille, la fille des photos de la salle de bain qu’il avait brûlées jusqu'à la dernière. Comment avait-il atterri ici ? Qu’avait-il fait auparavant ? De peur qu’on le surprenne, il sortit discrètement de la maison. Si quelqu’un l’avait vu, que pourrait-il dire ? Que se passerait-il ensuite ?
3 jours plus tard, on le retrouva mort chez lui, gisant dans une flaque de sang, un couteau où seules les empreintes de l’homme étaient présentes, une lettre d’excuse mal écrite pour les meurtres qu’il avait commis. Sur le miroir, une inscription «L’heure de la vengeance a sonné».
*
Quand il eut fini de me raconté l’histoire, je fus submergé ! J’en avais la chaire de poule. Je demandai au barman comment pouvait-on en arrivé là, il me répondit sans la moindre hésitation qu’on n’aurait jamais du relâché ce monstre et que la peine de mort serait méritée. Des enquêtes furent menées sans résultat. Cette histoire fut la plus étrange de toutes les histoires du coin. Que s’était-il véritablement passé ? S’était-il suicidé ? Était-ce le diable ? Était-ce une vengeance ? Nous ne le saurons jamais.
-CONCOURS- Bellevue " LA FOLIE DU DUC DE SPALANZANI de Lucie Genevey et Audrey Chareyre
24 Décembre :Partant tôt ce matin,j’ai croisé chez un antiquaire une commode qui m’a tout particulièrement attiré.Elle est en bois de chêne et élégamment sculpté,légèrement doré sur les poignées.J’ai décidé de l’acheter.
25 Décembre : Ça y est ! ça y est ! Le meuble est chez moi et il est magnifique ! Je suis fier de mon achat et de puis deux heures je suis ébahis par sa beauté.
26 Décembre : Dans mon meuble se trouvait une trappe cachée son le meuble par des planches en bois, et dans celle-ci se trouvait un magnifique miroir.Je me demande comment ce miroir et arriver ici.Je l’estime datant du dix-septième siècle.Il est en bois de saule et recouvert d’une fine couche de dorure qui malgré le temps ne s’effrite pas.
27 Décembre : Je ne me lasse pas de m’observer dans cet admirable miroir.Des rumeurs courent selon quoi de mystérieux inconnus se promènent la nuit.Je ne prête pas attention à ces ragots sans doute inventer par des paysans pour leurs enfants.
29 Décembre :Comme c’est étrange , je ne me souvient absolument pas de ce que j’ai fait hier.Les rumeurs parte hier à voix haute sont maintenant chuchotés,pleines d’arrières pensées.Un habitant homme a été tué hier.Les habitants me soupçonnent de ce meurtre.Mais je reste persuadé que leur bon sens l’emportera sur leur colère.JE N’AI PAS TUE CET HOMME !!!
31 Décembre :Aujourd’hui encore, je ne me souviens pas de ma journée d’hier,cependant,un homme a été assassiné.Des fuites de l’enquête sont parvenues au village.L’homme a été étranglé avec une mèche de cheveux blonds.Les villageois ne se cachent plus pour m’accuser.Ils pensent que cette mèche de cheveux m’appartient.Mais je pense que je ne suis pour rien mais un doute me viens a moi comme je me rappelle pas de ce que j'ai fait les jour précédent.
2 Janvier :Les accusations sont assourdissantes.Je commence même a douté de moi-même.Et si la cause de tout cela n’était que ce meuble et de ce maudit miroir.
3 Janvier :C’est incroyable !Je ne peux pas y croire,c’est IMPOSSIBLE néanmoins je sais sur de ce que j’ai vu.Je ne peux pas le dire,on me prendrait pour un fou.Je me suis observer dans ce miroir et me suis coucher en faisant de dormir et la j’ai vu non je ne peux pas,c’était sans doute le fruit de mon imagination.
6 Janvier :Il faut que je le dise,il faut que je le dise !Le 4 janvier,je ne me souvient de rien,mais le lendemain,une autre personne a été retrouvée morte.Une petite fille cette fois.Mais j'ai fait une découverte et je pense que la cause de mes problèmes c'est se foutu miroir cachée dans cette magnifique arnaque de commode,Une émeute de villageois en colère est venue hurler ses accusations devant ma porte de mon manoir.Une mèche de cheveux a aussi été retrouvée sur le cou de la jeune victime.MAIS JE N'Y SUIS POUR RIEN !!!!!!!!
7 Janvier :Je ne peux plus garder le silence,il faut que je le dise.Vous souvenez vous du miroir de ce maudit miroir que j’ai acheté ? C’est lui la cause de tous ces problèmes ! Quand un humain se regarde dans clarté de son cœur,après quelques heures,le miroir reflète a nouveau cet humain,qui s’anime et qui vie.Pour me débarrasser de ce maudit,il n’y a qu’une solution,LE BRISER !
*
Les villageois en colère hurlaient un flot d’insultes ,hurlant et tapant violemment la porte. Néanmoins la porte refusait toujours de s’ouvrir :il fallait amener des béliers. Après quelques coups,la porte céda,et l’émeute en colère envahi le manoir du meurtrier présumer de 3 personnes dont une enfant.Lorsque les villageois pénétraient dans sa chambre,une étrange scène les accueillit.Coucher sur le dos,les cheveux en bataille,les yeux vitreux et fixant le plafond sans plus rien voir.Le duc de Spalanzani était étendu dans sa chambre des bouts de miroir éclata autour de lui.
-CONCOURS- Bellevue " LE CHIEN" de Lilian Gouttenoire et Maxime Teoli
Il faisait beau, j'étais dans un bois à Campagne un petit village à la campagne. Je regardais le ciel qui s'assombrissait quand un coup de tonnerre résonna. Je me disais qu'il n'était pas prudent de rester ici, alors je rentrais chez moi. Quand je fus sorti du bois, un camion de pompier passa devant moi à une allure folle. Quand j'arrivais au bout de ma rue, je vis un camion de pompier similaire à celui que j'avais vu auparavant. Il était accompagné de deux voitures de police et d'une ambulance. Tous ces véhicules étaient devant ma maison. Je me demandais ce qui se passait. Je vis ma mère, derrière la porte, en larmes. Quand elle me vit, elle marcha jusque moi. Elle me montra mon père. Il était à terre mort. Elle me dit ensuite avec une boule dans la gorge qu'il était mort en s'étouffant avec un morceau de viande. Je m'approchais de lui pour le voir une dernière fois quand je vis une morsure sur son cou mais je ne dis rien. Je ne croyais pas se qu'elle disait. Il n'était pas mort étouffé.
La semaine qui suivi, il y eut les funérailles de mon père. Tout les campenois et les campenoises étaient à son enterrement. Mon père fut enterré au cimetière de Leuy, une commune voisine de mon village. Je voyais le cimetière de ma chambre. Toutes les nuits je pensais à lui et je regardais sa tombe.
Au beau milieu d'une nuit, je fus réveillé par un gros grognement. Je regardais par la fenêtre de ma chambre quand je vis une grosse, silhouette qui rodait autour de la tombe de mon père. Cette silhouette était comparable à celle d'un gros chien.
A partir de se jour, j'entendais toutes les nuits des grognements, des aboiements. J'avais peur, je doutais, je ne savais pas se qu'était cette bête. Je voulais aller voir cette créature. Je me demandais si c'était elle qui avait tué mon père. Le problème c'était que ma mère ne voulait pas que j'aille au cimetière la nuit et la créature ne sortait que la nuit. La semaine qui suivi, je partis en douce de la maison vers minuit pendant que ma mère regardait la télévision. Quand j'arrivais au cimetière il était déjà minuit et demie. Depuis la porte du cimetière, les grognements se faisaient entendre comme si la bête était devant moi. Je regardais les tombes quand, tout à coup, je vis la créature mystérieuse, s'approcher de la tombe. Elle guettait les environ comme si elle avait peur que quelqu'un la surprenne. Le chien que j'avais vu de ma fenêtre faisait environ deux mètres de hauteur et trois mètre de longueur. Je fus pris d'une frayeur atroce. Je repartais du cimetière en essayant d'être discret. Un aboiement me fit sursauter. Il m'avait repéré, alors je me mis à courir, courir comme si ma vie en dépendait. Je regardais une dernière fois derrière moi. Je voyais trouble et ne le distinguais plus. Quand je fus arrivé près de la porte de ma maison, je fus pris de fatigue et tomba par terre. Ma mère me réveilla quand elle me vit étendu par terre devant la porte de la maison. Elle me demanda si tout allait bien. Je lui répondis que oui. En fin de matinée mon cou commença à me gratter, en le grattant je remarquai qu'il y avait du sang sur mes doigts. Je ne retournai pas au cimetière le soir même mais la semaine qui suivit. Ma mère me surprit en train d'ouvrir la porte et me fit aller me coucher. Je mis assez de temps à m'endormir car je pensais à l'image trouble que je vis en rentrant du cimetière. Je fus réveillé au beau milieu de la nuit par la porte de la maison qui claqua. Quelques minutes plus tard, la porte de ma chambre s'ouvrit en grinçant. Je me dis que s'était un courant d'air mais après avoir bien regardé, je vis une image trouble qui ressemblait à celle du cimetière. Je me cachai sous la couverture. Quelques secondes plus tard, je fus serré par ma couverture au niveau du cou. Je retirais ma couverture quand je vis toujours la même image mais au bord de mon lit cette fois. J'essayais de l'attrapé quand ma main fut retenu par une force invisible. Je voulu crier mais je ne pus car mon cou me faisait mal. De toute façon, il était trop tard. La force invisible m’étranglait et me mordait. Je mourais.
Quand ma mère rentra pour me réveiller le lendemain, elle poussa un cri d’épouvante ; elle me retrouva mort avec du sang séché sur le cou. Elle s’approchait de moi quand la force invisible la poussa sur moi, l’étrangla et la mordit. Elle était morte comme moi.
-CONCOURS- Bellevue " LES FLAMMES DE LA MORT" de Chloé Rébus et Océane Roux
8 décembre : Ma vie venait de s’effondrer.
Aujourd’hui ce fus la pire journée de mon existence: inhumer ma femme et mes deux enfants. Je suis triste, malheureux je ne mange plus, je ne sors plus. Pourquoi suis-je sorti aller acheter du pain ce jour là ? Si j’étais resté je serai sûrement mort avec eux. Au moins, ma vie ne serait pas si solitaire. Je n’essaie même pas de m’imaginer leur souffrance. Quand je suis arrivé devant ma maison ce n’était plus qu’un immense brasier. Ils étaient déjà morts. Je n’ai même pas pu leur dire adieu.
Quand je rentrerais de ma rude journée qui m’accueillera dorénavant sur le pas de la porte ?, qui me fera des câlins, des sourires? Mes épaisses mains ne caresseront plus les denses chevelures bouclées couleurs blé de mes petits anges, mon esprit est sans cesse harcelé par ces innombrables questions.
Maintenant je suis seul et je resterai seul jusqu'à la fin de mes jours.
12 décembre : Je retournai au village chez un ami pour lui demander de m’héberger, service qu’il accepta, car mes petites économies ne me permettaient pas de rester indéfiniment à l’hôtel.
16 décembre : Quelle nuit horrible. Je n’ai pas fermé l’œil. Je ne cessais de me rappeler cet instant tragique. Les derniers mots à ma femme et mes enfants resteront gravés dans ma tête. Tout à coup, mes yeux se brouillent j’aperçois des flammes, des hurlements montaient de cet immense brasier. Et dire que je suis resté impuissant devant cela.
Je descendis prendre mon café avec mon ami Pierrot. Le déjeuner était prêt, et une lettre m’attendait devant mon bol. Je l’ouvris délicatement et la lue. Elle indiquait que mes amis étaient partis retrouver leur famille et qu’ils me laissaient la maison.
19 décembre : Depuis quelques jours je suis fiévreux, je ne cesse de trembler, et de plus je n’ai plus personne à qui me confier.
20 décembre : Je viens de consulter mon médecin « une grosse déprime ! » selon lui . De retour je traversai la forêt du « Rounchas », le lieu où j’ai enterré mes biens aimés. Je décidai de passer leur faire une petite visite. Je me suis mis à leur parler conscient que personne n’allait me répondre bien entendu. Soudain j’entendis une voix de femme qui me répondit. C’était ma femme.
Etais-je devenu fou? Pour vérifier cela, je fermai les yeux et les rouvris, je la vis toujours. Ce n’était pas un rêve ! Un silence s’installa, on se regarda dans les yeux, personne ne bougea. Elle se rapprocha de moi et posa sa main sur ma joue droite. Cet instant là fus formidable, je me sentis en sécurité, comme si tous mes chagrins avaient disparu. Je refermai les yeux pendant une seconde et elle disparut quel désespoir. Je décidai enfin de rentrer. La bise me glaçait le visage, je fermais le col de mon grand manteau. Dans la maison, la cheminée s’était éteinte, il y faisait aussi froid que dehors, je me résignai à aller me coucher.
23 décembre : Ce matin, en me levant, je ne me sentis pas bien du tout. Quand je suis allé dans la salle de bain, je me suis regardé dans le miroir. J’eus l’air d’un homme désespéré. Je découvris une brûlure sur ma joue droite, mais le plus étrange c’est qu’elle avait la forme d’une main…
Etais ce la main de ma tendre épouse. Ensuite je descendis dans le salon.
J’ouvris les grands volets de bois, la campagne avait revêtu son grand manteau blanc. Un grand calme s’était installé , l’immense ciel bleu et le les rayons scintillants du soleil me firent oublier un instant mon désarroi.
Là, sous mes yeux je vis mes enfants jouer dans la neige, ils avaient l’air heureux. Tout à coup on frappa à la porte, je sursautai. C’était François le facteur, il me salua et me remit une lettre que je décidai de ne pas ouvrir. Je retournai contempler ce magnifique paysage et mes enfants mais ils avaient disparu. Je remarquai quelque chose d’étrange ; la neige avait fondu où mes enfants jouaient!
Ma brûlure et maintenant la neige fondu, deux phénomènes que je ne pouvais expliquer. Au bout de quelques minutes un épais brouillard s’installa et la vallée s’assombrit.
24 décembre : Aujourd’hui, le pire réveillon de ma vie. Je vais le passer tout seul. Le brouillard était toujours là !il faisait très froid le givre collait aux carreaux! Ce soir là, je décidai de me rendre au café de la Gare, ou tous les ans des villageois réveillonnaient. Je m’installai au comptoir à coté de Marcel. Je commandai une eau de vie et me mis à ressasser mon passé, le boulanger ne m’écoutait plus mais moi je continuais à parler et je buvais de plus en plus pour noyer mon chagrin.
Mon ami s’en alla, je me retrouvai tout seul ! Celui-ci avait oublié son briquet sur le comptoir, alors je le saisit, le mis dans ma poche pour le lui rendre le lendemain, et je partis. Avant de rentrer chez moi, je décidai d’aller souhaiter un joyeux noël à ma femme et mes deux enfants. Il faisait très sombre le brouillard opaque m’aveuglait mais je continuai à marcher en direction de la forêt. Tout à coup, au loin, j’aperçus une petite lumière orangée qui attira mon regard. Plus je m’avançais, plus la petite lumière grossissait. Soudain, je crus entendre un bruit et sentir une présence dans mon dos mais je n’y portai pas attention. Je continuai de marcher vers cette lumière de plus en plus forte, et plus je m’approchai plus j’entendais le bruit des enfants qui chahutaient.
Quand j’arrivai près de leur tombe les bruits se firent plus distincts et je entendis « Papa, papa viens nous sauver ! rejoins nous ! aide nous ! au secours ! au secours… »Je me mis a courir et là je vis ma femme vêtue de blanc qui me tendait les bras. Je m’arrêtai de courir, elle s’approcha de moi et me dit « je souffre je ne peux vivre sans toi ! nous t’attendions viens !» ; A cet instant les enfants s’élancèrent vers moi et me sautèrent dans les bras, ma femme m’enlaça. Nous étions de nouveau ensemble. Je me sentis bien, et ressentis la chaleur de leur corps, je voulais que cet instant ne s’arrête jamais…
LA MONTAGNE,25 décembre
Rubrique Fait divers :
Huedour
« Le corps calciné d’un homme a été retrouvé près de la tombe d’une femme et de ses deux enfants. »
Nous supposons qu’il s’agit du mari.
-CONCOURS-Bellevue "AMOUR MORTEL" de Justine Debard et Leïla Chorrier-Collet
On m’avait restitué tous les biens de ma cousine décédée il y a environ une semaine. J’étais curieuse de découvrir ce que ces cartons contenaient. Sous un cadre photo, je vis son journal et décidais de le lire.
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23 avril,
Une semaine déjà que mon mari est mort, c’est fou ce que le temps passe vite... Je suis plus triste que jamais... C’est étrange, j’ai l’impression de sentir sa présence à côté de moi.
24 avril,
Sa présence est de plus en plus inexplicable mais elle me permet de me sentir moins seule. Ce matin, en me levant, j’ai aperçus des traces rouges sur mes doigts, on aurait dit du sang. J’essayais de me persuader du contraire : d’où aurait-il pu venir ?
26 avril,
Hier, j’ai retrouvé la même substance rouge sur mes doigts. Je ne comprends toujours pas ce que cela peut être. Je suis de plus en plus inquiète, j’ai l’impression de devenir folle ! Je ne me souviens même plus de certains moments de mes journées !
27 avril,
Je me suis levée pour préparer mon petit déjeuner, comme tous les matins quand soudain j’ai vu un homme gisant au sol au milieu de mon salon. Ma première réaction fut de lâcher mon bol et mon assiette en criant ! Tout cela est incompréhensible, je n’ai jamais vu cet homme auparavant. Je ne comprenais plus rien. Puis, reprenant mes esprits, j’ai décidé de le garder chez moi cette nuit, le temps de sa guérison. Ce n’est que le soir, en allant me coucher que je me suis rendue compte que cet homme était un grand ami de mon mari. Qu’est-ce que cela signifie ?
28 avril,
Ce matin en arrivant dans mon salon, un frisson d’horreur m’a glacé le sang : l’homme qui était resté chez moi cette nuit était étendu mort. Est-ce du délire ? Non, il était là, devant moi. J’ai remarqué une fois de plus des traces rouges sur mes doigts. Cela est irréel, La maison avait été fermée à clé, ainsi que les fenêtres. L’assassin ne pouvait donc être que moi. Je me persuadais de l’absurdité d’une telle idée...
29 avril,
Aujourd’hui, la même scène c’est reproduit avec le cadavre d’une femme que j’ai tout de suite reconnue : une collègue de mon mari qu’il appréciait énormément.
Je n’en peut plus je suis à bout de nerf. J’ai l’impression d’être complètement folle... J’ai donc décidé que cette nuit je me ligoterais au cadre de mon lit...
Je n’eus pas eu le temps de fermer les yeux qu’une étrange silhouette apparue, je l’a reconnue tout de suite : c’était mon mari. Je n’osai plus bouger. J’étais tétanisée Était-ce le fruit de mon imagination ? Puis, il se mit à me parler et il m’avoua qu’il m’avait fait tuer ses amis pour les avoir à ses côtés. Il voulait me rendre folle dans le but que je me suicide, pour le rejoindre.
30 avril,
Pour une fois en me réveillant, tout me paraissait normal. Je me sentais bien mais tout ce qui c’était passé cette nuit m’avait terrifié. L’homme que j’avais vu cette nuit ne pouvais pas être mon mari, mon vrai mari ne m’aurait jamais fais subir tout ça... Je n’allais donc en aucun cas me suicider. Je décidais de tout oublier...
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Que cela signifiait-il ? Ma cousine était morte le 1er mai, le jour après qu’elle ait arrêté d’écrire dans son journal... Je ne comprenais rien. Je pris la décision de ne jamais révéler cette histoire à personne...
-CONCOURS-Bellevue "FOUDRE" de Guillaume Beau et Andrea Livet
Bonjour, je m’appelle Lucas. Je vais vous raconter une histoire que j’ai vécue quand j’étais plus jeune. Une histoire toujours restée mystérieuse et inexplicable. C’était un soir, je me trouvais chez moi, à Paris. Je travaillais comme reporter pour un petit journal parisien. A ce moment-là, je m’occupais d’un fait divers plutôt bizarre. Cela concernait des événements qui se déroulaient aux alentours de la Seine. C’était un soir, j’étais épuisé par le travail. Je me trouvais à table avec mes parents et j’eus soudain une bouffée de chaleur. Je décidai d’aller faire un tour dehors. Je sortis alors de l’immeuble, je n’avais pas encore mis le pied dehors que le vent glacial me pétrifia sur place. Je me forçai tout de même à bouger et je me dirigeai d’un pas vif et rapide vers le bar.
*
J’entrai et m’y installai, je reconnus avec surprise un de mes anciens amis qui venait d’être embaucher en tant que barman dans ce bar. Je lui ai parlé de ce fameux sujet de presse sur lequel je ne trouvais aucun témoignage concluant. Au fil de la soirée j’enchaînais les verres d’alcool tout en continuant à exposer mes mésaventures récentes. Vers minuit, je me décidai à rentrer chez moi. Je marchais sur les quais de la Seine. Je ne me sentais pas très bien. Je décidai de m’asseoir quelques minutes.
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Je levai les yeux au ciel pour contempler les étoiles, quand tout à coup le ciel commença à s’assombrir à une allure époustouflante; et je vis soudain un éclair qui frappa la Seine dans un vacarme assourdissant. J’en restai terrifié pendant quelques secondes. Je vis tout à coup plusieurs silhouettes apparaître. Des silhouettes inquiétantes, effrayantes et sinistres. Une fois qu’elles furent sorties de l’eau je pus percevoir un visage sombre et menaçant qui venait vers moi. Je m’enfuis le plus vite que je pus et quand je me retournai, je ne les apercevais plus. Je rentrai chez moi du plus vite que je pus, j’étais alarmé et effrayé.
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Le lendemain, je retournai à mon travail pensant que se n’était qu’une hallucination, mais mon directeur vint me voir en me disant : « tu as un nouveau fait à résoudre ! ».Je pris la feuille sur laquelle il y avait les informations sur le fait qui s’était passé la veille au soir et je me rendis compte que mon hallucination était bien réelle. Les silhouettes au visage sombre et effrayant avaient cambriolé et détruit mon quartier en épargnant mon immeuble.
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Le soir je décidai d’élucidé le mystère et je retournai sur les quais de la seine mais je ne perçu aucune silhouette ni de zombie.
Le lendemain mon directeur revenu me voir en me disant que des faits très semblable a ceux qui c’était passé avant-hier était arrivé dans un autre arrondissement de Paris toujours vers les habitations prés de la Seine .Je me remémora plusieurs fois l’événement que j’avais vu et je ne pus en déduire une explication.
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En rentrant chez moi, le soir, je me souvenu que j’avais une petite barque, et je décidai de me rendre sur la Seine a l’arrondissement que mon directeur me signala. Je pris ma voiture et une petite remorque sur laquelle j’avais déposé la barque. Arriver sur le lieu, je mis ma barque a l’eau et je ramai jusqu’au milieu de la seine. Un silence total envahissait le lieu et un brouillard très épais se rependit à la surface de la Seine.
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Je commençai à avoir froid et un grand frisson s’empara de moi. J’avais peur et je ne savais ou j’étais. Je me sentais comme soulever par une force surnaturelle. Je décidai alors de reprendre mes rames et de ramer jusqu'à la terre. Et toute a coup je vis plusieurs silhouette, les même que j’avais vu vers chez moi. Je pris mes rames et je ramais du plus vite que je pus mais cette force surnaturelle m’en empêcha. Je me senti prisonnier, je ne savais où allez. J’étais poursuivie et puis soudain, un trou noir m’envahit. On me retrouva inconscient sur les quais de la Seine vers chez moi.
-CONCOURS-Bellevue "LE CHAT MAUDIT" de Earli Molla et Erik Mkrtichyan
Quelle belle journée! J’avais enfin trouvé un travail, j’étais gardien dans un cimetière prés de Paris dans une vieille campagne. Ce fut mon premier jour et j’ai commencé par visiter la maison qui se trouve dans le cimetière.
En visitant la chambre à coucher je vis sous le lit un journal intime poussiéreux je l’ai nettoyé, il était du nom de Antoine du Rocher, l’ancien gardien de ce cimetière qui avait disparu mystérieusement. Je le lus très attentivement, voici son contenu:
12 janvier- J’avais trouvé du travail. C’était mon premier jour en tant que gardien de cimetière. Au cimetière j’avais rencontré l’ancien gardien du cimetière, qui était en train de partir, il m’avait dit d’un aire menaçant : «Fait attention au chat noir ». Mais je ne fis pas attention à ses propos car il me parait fou.
24 janvier- Pendant deux semaines il neigeait et il faisait très froid, mais aujourd’hui je vis un chat noir qui trainait sur une tombe toutes les nuits, c’était peut être le chat dont m’avait parlé l’ancien gardien, il m’avait dit de faire attention à ce chat. La tombe sur laquelle il trainait était du nom de Pierre Miton c’était sans doute le maître de ce chat. Ce chat m’intriguait, alors j’étais sortis de chez moi et j’essayai de m’approcher de lui, je le regardai dans ses yeux jaunes, ce chat me paraissait étrange on aurait dit qu’il voulait me dire quelque chose, mais il prit peur et s’enfuit alors je rentrai chez moi pour me reposer. Soudain un bruit me fit sursauter, je suis allé voir ce qui c’est passer, je vis ma vitre brisée puis je vis une pierre sur laquelle était une lettre. Sur cette lettre était écrit : « Ne t’approche plus du chat ou tu le regretteras ».
25 janvier- Une mauvaise journée s’annonçait car je n’avais pas dormis de toute la nuit à cause de ce qui c’était passé hier soir. Plains de questions se posait dans ma tête. Cette lettre, qui me l’avait jetée ? Et ce chat, pourquoi ne devais-je pas l’approcher ? Je pensais que c’était l’ancien gardien qui m’avait jetée cette lettre, il fallait que je le retrouve.
2 février- J’ai cherché l’ancien gardien pendant une semaine et je ne l’ai pas trouvé. Alors j’ai laissé tomber. Cette nuit je n’avait vue le chat nul par même pas sur la tombe de son maître. Tout était calme. Alors j’avais décidé de me détendre et de boire quelques verres d’alcool. Un peu plus tard, alors que je regardais en direction du cimetière je vis dans le noir, sur la tombe de Pierre Miton, la terre bouger, ensuite quelque chose est sortit de la terre, il faisait sombre je ne voyait pas ce que c’était, je pris ma lampe je la pointa vers la tome et ce que je vis me glaça le sang je vis une main sortir de la terre. J’étais terrorisé. Tout à coup j’entendis un bruit derrière moi, c’était le chat qui avait fait tomber la bouteille d’alcool. Mais comment était il rentré chez moi ? Je n’osais pas m’approcher de lui, alors je pointais ma lampe vers lui pour le faire fuir, brusquement, il se mit à courir à toute allure vers la porte d’entrée qui était ouverte je ne sais pas pourquoi, je fermais la porte à clé et je suis allé voir ce qu’il en était de la main, elle n’était plus là, mais je vis le trou par lequel la main était sortit. Je fermai la fenêtre et j’allai me coucher dans mon lit tout en laissant les lumières allumer.
3 février- Je m’étais réveillé en sursaut à cause d’un cauchemar, j’avais rêvé du chat et de la main que j’avais vu hier soir. Je me levis et je sortis de chez moi pour aller voir le trou par lequel la main était sortis. Je m’approchais de la tombe de Pierre Miton et je vis que le trou n’était plus là. Comment cela ce fait ? Avais-j rêvé ? Ou peut être que j’avais trop bus ? Ce cimetière m’effrayait, je ne voulais pas que cela ce reproduise alors je voulais démissionner dés le lendemain.
Cette histoire avec Antoine du Rocher me faisait très peur, si je rencontrais un de ces phénomènes je partirais sur le champ. Ce soir je fis très attention à ce qui ce passait dans le cimetière. Plus tard je vis, avec peur, le chat noir, sans doute le même que dans l’histoire de Antoine du Rocher, je fermai ma porte et mes fenêtres. Je vis ses yeux jaunes briller dans le noir, il jouer avec quelque chose de rond et très gros. Je pris ma lampe de poche j’ouvris ma fenêtre et je pointai ma lampe sur lui, et je vis ce chat jouer avec une tête humaine, je refermai vite ma fenêtre, j’étais terrifié, je gardais ma lampe allumer à côté de moi, je devenais paranoïaque, à chaque petit bruit je pendais à ce chat qui jouait avec cette tête humaine. Je me leva pour voir si j’avais rêvé ou pas, je regarda par la fenêtre et je vis un spectacle terrifiant, je vis les morts se lever de leurs tombes, ils se dirigeaient vers ma maison, j’allai me réfugier dans la salle à manger, ensuite je pris une bouteille d’alcool et je la bus pour soulager ma peur, je bus, je bus jusqu’à en être soul et m’endormir. Le lendemain matin je me réveillai avec un gros mal de tête. Il n’y avait aucun mort vivant, je ne savais pas si j’avais rêvé. Je fit mes bagages et je partis sans savoir ce qui c’était vraiment passé et avec un souvenir qui me hantera toute ma vie.
-CONCOURS- Bellevue "ADN" de Clarisse Feuillant et et Maël Baron
Mardi 4 octobre
Je m’appelle Léonard, J’ai 21 ans, je viens de finir mes études de chimie et je commence à travailler dans le laboratoire de Mr Robert à Cannes. C’est une des connaissances de mon oncle .Ma sœur vit avec moi.
Mercredi 5 octobre
Ce matin, ma sœur m’a appelé et tiré brutalement de mon sommeil pour me dire que j’étais en retard pour mon premier jour, je me suis levé difficilement de mon lit. J’ai à peine eu le temps de prendre une tartine et je suis parti .Quand je suis arrivé au laboratoire en retard, J’ai croisé Mr Robert qui m’a entraîné dans son bureau et m’a fait signer tout un tas de papier, puis il m’a informé de mon premier travail qui consiste à réaliser un ADN animal. C’est un travail à risque, il faut se protéger et mettre des gants étanches.
Vendredi 7 octobre
Cela fait 2 jours que je travaille sur l’ADN animal. Je trouve cela difficile mais je m’y accroche du mieux que je peux !
Samedi 8 octobre
Ce matin m’a sœur m’a demandé si cette expérience est sûre. J’ai l’impression qu’elle me surveille. Mais je suis certain que je ne risque rien.
Lundi 10 octobre
Au laboratoire, je me suis rendu compte que j’avais oublié de mettre mes gants. Ne voulant pas perdre du temps, j’ai voulu continuer. Dans ma précipitation, j’ai fait tomber ma spatule dans le mélange : j’en avais partout même sur mes manches. Ai-je eu raison de continuer ? N’aurais-je pas dû aller chercher mes gants ?
Vendredi 14 octobre
Ces jours-ci, je deviens plus musclé alors que je ne fais rien pour l’être. Mes yeux changent aussi de couleur petit à petit, pourquoi ? J’ai des nausées et des vertiges .Que se passe-t-il ?
Lundi 17 octobre
Ce matin, j’ai senti des choses étranges sur mon visage alors je suis allé me voir dans la glace : j’avais une tête de léopard ! J’ai voulu crier mais un rugissement a retenti. Je suis descendu dans la salle à manger et j’ai vu une scène atroce, ma sœur était dans un bain de sang avec des morsures au niveau de sa gorge. Que dois-je faire ? Dois-je prévenir quelqu'un ? Et si c’était moi qu’il l’avait tué ? Non c’est impossible .
Et si une personne pensait que c’est moi ? Je dois trouver une solution !
Mardi 18 octobre
Cette nuit, je me suis décidé et je suis parti dans la forêt .J’ai eu très peur car il y avait des bruits, des craquements et comme des murmures. J’ai aussi entendu une voix qui m’accusait de la mort de ma sœur. Elle s’est répété toute la nuit. Je me suis finalement endormi sous un arbre . En me réveillant, je suis retourné chez moi voir si j’avais fait un cauchemar et j’ai découvert la police qui s’emparait du corps inerte de ma sœur. J’ai eu peur que la police découvre la transformation qui s’était produite avec l’ADN mais mon visage avait une apparence normale. Avais-je rêvé ? Un policier s’est approché de moi et m’a interrogé. J’ai eu des spasmes tellement j’avais peur et j’ai avoué ce qui s’était passé. J’ai aussi parlé de la voix qui m’avait parlé toute la nuit. Le policier m’a cru fou et m’a interné. Jamais je ne saurai ce qui s’est passé ? Qui a tué ma sœur ? Étais-ce moi ou quelqu'un d’autre ?
-CONCOURS- Bellevue "JEU D'OMBRE" de Juliette Bondiguel et Anaïs Briz
Tôt ce matin, le téléphone sonna. C’était l'hôpital qui me demandait d'urgence pour un cas particulier. Dès que j'arrivai, un médecin m'emmena dans son bureau. Il me fit asseoir et me tendit un livre qui se révéla être le journal du patient. Je le pris et commençai ma lecture.
En me rendant au marché, j'aperçus un tas d'objets anciens qui jonchaient le trottoir. Mon regard se posa sur un miroir en parfait état. Voyant que personne ne s'y intéressait, je l’emmenai. Il trouva parfaitement sa place au milieu du mobilier rustique de ma chambre. Je contemplai mon refait quelques instants puis alla me préparer un bon repas.
Cette nuit là, j'eus le sommeil agité. En me réveillant le lendemain, j'éprouvais le désir profond d'aller me regarder dans ce miroir. En m’apercevant, j'eus une étrange sensation qui me parcourut le corps. Je me ressaisis et m'en alla visiter ma cousine.
En chemin, je fus frappé par une force invisible qui me forçait a faire demi tour en m'attirant vers ma maison. Quand je la regagnai, je m'arrêtai devant le miroir. J’éprouvai encore cette étrange sensation qui me parcourut tout entier.
Cette nuit, n'arrivant points à dormir, je me levai et me dirigeai vers ma cuisine, quand je passai devant le miroir, je m'arrêtai net. Derrière moi, dans le miroir, je vis une silhouette sombre qui me fixai .Je me retournai brusquement mais il n’y avait personne. Je saisis un couteau parcourus toutes les pièces sans rien trouver. Tout cela sembla être le fruit de mon imagination, je fermais les portes et les fenêtres, puis je me recouchai.
Quelques jours passèrent mais rien d’inhabituel ne se produisit jusqu'à aujourd’hui. Je me rendais au village pour faire mes courses quand je l’aperçus de nouveau. Il était comme la première fois, sombre, et il me fixa longuement à travers la vitrine d’un magasin. Je m’enfuis à toute allure mais elle se mit à courir derrière moi. Mon esprit était troublé, je doutais de moi-même. Etais-je fou ? Je courrai sans but. Je voulais simplement m’éloigner de cet être. Je m’arrêtai, essoufflé, devant un tas de ruine. Je m’assis sur un morceau de mur. Je repensai à c qui venait de se passer. Soudain, un reflet de lumière me frappa et je vis, parmi les décombres mon miroir. Comment était-il arrivé là ? Je n’en savais rien et un sentiment de peur grandissait en moi, car j’aperçus une nouvelle fois cette silhouette. Je frissonnai. Elle me fixait, comme à son habitude. Cette fois ci, elle se jeta sur moi. Je pouvais la sentir, elle était froide comme de la glace. Elle mit ses mains serrées sur ma gorge, et elle essaya de m’étrangler. Je la repoussai de toutes mes forces mais elle revenu à la charge. Pendant près de dix minutes, nous livrâmes un combat acharné. Soudain, elle me lâcha. Je me relevai tant bien que mal. Elle s’était écartée de quelques mètres. Je saisis une pierre et la lui lança mais tremblant de peur, je la manquai. Je ne comprenais rien à ce qui se passait. Elle me fit un signe pour que je m’approche et me tendit le miroir. Je n’osai pas bouger. J’étais pétrifié devant cette créature qui ne semblait irréelle. Je pris mon courage à deux mains et saisis l’objet. C’était comme si j’étais descendu en enfer. Autour de moi, je revoyais mes pires souvenirs.
Depuis ce jour, j’ai la sensation que l’être maléfique ne me quitte plus. Chaque nuit, elle est là, elle occupe mes cauchemars et jamais elle ne cessera de me hanter.
Je finis ma lecture sur ces derniers mots, stupéfait. Cet homme était vraiment fou. Je demandai au médecin ce qu’était devenu le miroir. Il me répondit qu’il était soigneusement rangé dans l’un des coffres de l’hôpital.
vendredi 16 décembre 2011
lundi 7 novembre 2011
Nouvelles lectures de Novembre
Se déroulant dans un monde oublié et dans des temps lointains, cette épopée tumultueuse raconte l'histoire de Kira, l'enfant mauve de la Reine Fan de Shola par Amecareth, l'Empereur Noir. Les Chevaliers d'Emeraude devront mener de durs combats pour protéger cette petite fille, afin que s'accomplisse la prophétie qui verra la destruction d'Amecareth.
Tara et Manitou, son grand-père transformé en labrador, partent sur Autremonde affronter d'étranges créatures pour retrouver leur mère .
Mais bientôt le trop puissant pouvoir de Tara fait des envieux, et elle devient la cible de complots dont seul son sens de l'humour et son courage pourront la sauver. Elle devra parvenir à sauver sa mère et découvrir qui veut l'assassiner et pourquoi.
Emma, je sais que cette histoire parait dingue. Maman et toi, vous devez vous demander où je suis passée et quand je reviendrai. Voilà pourquoi je te laisse ce carnet, au cas où il m'arriverait quelque chose et qu'on ne me revoit plus jamais. Regarde bien tout ce qu'il y a là-dedans. Appelle les numéros de téléphone. Va sur les sites internet. Mais surtout pas un mot à personne, sauf si tu as envie de finir impliquée jusqu'au cou comme moi. Ne t'en fais pas, je m'en sortirai (enfin j'espère). Après tout, c'est peut-être le début d'une nouvelle vie pour moi... Appelle-moi! Cathy.
Avant l'accident, Ever Boom était une adolescente populaire et joyeuse. Quand elle perd toute sa famille, elle reçoit soudain un terrible don : celui de lire dans les pensées des gens en les touchant. Elle se renferme alors sur elle-même et évite le contact des élèves du lycée qui la regardent comme une chose bizarre... Jusqu'au jour où elle rencontre Damen Auguste. Il est mystérieux et d'une beauté inquiétante.Or c'est le seul être dont elle ne peut pas découvrir les pensées. Mais qui est-il ?
lle est apparue un matin dans l'ascenseur. On a monté 115 étages en silence. Puis elle est entrée dans l'école, comme moi. Pendant la récréation, elle est restée dans la classe. Moi, penché au parapet de la terrasse , je me répétais : "Ne tombe pas, ne tombe pas... " J'avais peur de tomber amoureux. Après, elle est partie et n'a jamais remis les pieds au collège. Il fallait que je la retrouve.
Sport parmi les plus populaires du monde, le badminton demande adresse, puissance et stratégie. Grâce à ce livre, tu sauras tout de la pratique du badminton. En simple ou en double, du smash à l'amorti, de l'échauffement à la récupération, voilà un guide complet qui t'accompagnera pendant les entraînements et les matchs. Tu vas aussi découvrir les as du "bad".
Tara et Manitou, son grand-père transformé en labrador, partent sur Autremonde affronter d'étranges créatures pour retrouver leur mère .
Mais bientôt le trop puissant pouvoir de Tara fait des envieux, et elle devient la cible de complots dont seul son sens de l'humour et son courage pourront la sauver. Elle devra parvenir à sauver sa mère et découvrir qui veut l'assassiner et pourquoi.
Emma, je sais que cette histoire parait dingue. Maman et toi, vous devez vous demander où je suis passée et quand je reviendrai. Voilà pourquoi je te laisse ce carnet, au cas où il m'arriverait quelque chose et qu'on ne me revoit plus jamais. Regarde bien tout ce qu'il y a là-dedans. Appelle les numéros de téléphone. Va sur les sites internet. Mais surtout pas un mot à personne, sauf si tu as envie de finir impliquée jusqu'au cou comme moi. Ne t'en fais pas, je m'en sortirai (enfin j'espère). Après tout, c'est peut-être le début d'une nouvelle vie pour moi... Appelle-moi! Cathy.
Avant l'accident, Ever Boom était une adolescente populaire et joyeuse. Quand elle perd toute sa famille, elle reçoit soudain un terrible don : celui de lire dans les pensées des gens en les touchant. Elle se renferme alors sur elle-même et évite le contact des élèves du lycée qui la regardent comme une chose bizarre... Jusqu'au jour où elle rencontre Damen Auguste. Il est mystérieux et d'une beauté inquiétante.Or c'est le seul être dont elle ne peut pas découvrir les pensées. Mais qui est-il ?
lle est apparue un matin dans l'ascenseur. On a monté 115 étages en silence. Puis elle est entrée dans l'école, comme moi. Pendant la récréation, elle est restée dans la classe. Moi, penché au parapet de la terrasse , je me répétais : "Ne tombe pas, ne tombe pas... " J'avais peur de tomber amoureux. Après, elle est partie et n'a jamais remis les pieds au collège. Il fallait que je la retrouve.
Sport parmi les plus populaires du monde, le badminton demande adresse, puissance et stratégie. Grâce à ce livre, tu sauras tout de la pratique du badminton. En simple ou en double, du smash à l'amorti, de l'échauffement à la récupération, voilà un guide complet qui t'accompagnera pendant les entraînements et les matchs. Tu vas aussi découvrir les as du "bad".
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